la esprit déformée
Ezra ne dormait plus. Les chiffres s’imposaient à lui dans les reflets de vitrine, les numéros de téléphone, les plaques d’immatriculation, les tickets de métro. Le microcosme absolu semblait se subtiliser d’une pellicule digitalisation mouvante, instable, glissant entre les lois naturelles et une nouvelle forme de vision. Il ne prévoya